J’ai effectué des études en économie et gestion des entreprises pour finir par un DESS de Création d’entreprise et gestion de projets innovants. Une fois mes études terminées, encore dans la bulle internet, je me suis lancé en tant que free-lance dans l’informatique que j’ai apprise sur le tas, la période étant propice à cela. C’est à ce moment que j’ai découvert l’univers des sociétés de services et la possibilité d’embaucher des ingénieurs pour les placer en prestation. J’ai eu mon premier salarié en 2002, puis j’ai fait grandir l’entreprise durant des années pour en faire une PME de 50 collaborateurs. J’ai créé différentes sociétés en parallèle, j’ai également été associé actif dans d’autres, dans le domaine du digital mais également dans le sport et l’art.
Un jour d'été, dans les bouchons, un panneau d’affichage sur l’autoroute A4 indiquait un pic de pollution et l’obligation d’avoir la vignette CritAir. Je me suis alors demandé pourquoi à notre époque nous devions encore avoir des vignettes collées sur notre pare-brise. Et si elles pouvaient être digitalisées? Pourquoi ne pas digitaliser alors l'ensemble des informations de l'assurance, du contrôle technique mais aussi la carte grise et les diverses factures? On pourrait alors imaginer centraliser toutes les informations de la voiture et de son conducteur dans une seule application. Ainsi est née, puis a mûri l’idée de CodeNekt
Il s’agit d’une application à télécharger sur les stores, gratuite pour les utilisateurs. Elle est
financée par les professionnels de l’automobile à qui on vendrait des services : données,
statistiques, fidélisation...
L’utilisateur n’a qu’à renseigner les informations de sa voiture et de son assurance, puis
dans un premier temps scanner les factures d’entretien qu’il a déjà.
Ensuite, tout est automatisé : l’application est connectée aux différents partenaires.
Prenons l’exemple du contrôle technique qui fait défaut à plus des 3⁄4 des automobilistes :
Codenekt connaît la date de l’échéance, la rappelle à l’utilisateur et lui suggère de prendre
rendez-vous dans un centre qu’il aura renseigné dans ses enseignes préférées, ou de manière
géolocalisée. Celui-ci n’a qu’à accepter la prise de rendez-vous. Une notification est envoyée au
centre de contrôle technique qui valide le rendez-vous selon ses créneaux disponibles et une
confirmation est envoyée à l’utilisateur qui n’aura plus qu’à se rendre le jour J pour effectuer
le contrôle. Le suivi et l’attestation sont envoyés dans l’application et viennent enrichir le dossier du véhicule.
C’est aussi simple que ça !
Mais ce n’est pas tout. Nous proposons également des services en B2B, de la fidélisation,
de la monétisation et beaucoup d’autres choses à découvrir prochainement.
Un développeur se trouve facilement en sourçant et en faisant passer des entretiens. Ce qui est plus délicat et stratégique pour moi, c’est le poste de CTO. J’ai commencé à chercher ce profil une fois mon projet sur papier, mon business plan abouti et mon pitch deck finalisé. Il me fallait un profil qui soit très technique (ce que je ne suis pas), mais pas forcément développeur. Quelqu’un qui soit capable d’avoir une vision globale technique du projet et à même de faire les bons choix technologiques. Cette personne aurait ensuite pour rôle de recruter et manager l’équipe de développement.
Mon expérience sur Cofondateur a été très positive. Évidemment, même quand vous postez une annonce qui précise vos besoins, vous avez toujours des personnes qui répondent à côté ou ne correspondent pas au profil que vous cherchez. Pour autant, j’ai eu quelques profils intéressants et ce assez rapidement.
Jérôme est tout de suite sorti du lot. Il avait la maturité, l’expérience et comprenait ma vision. Nous avons tout de suite accroché. En guise de bonus, il avait déjà approché le secteur de l’autotech et des startups dans le domaine. Il avait également des free-lances avec lesquels il avait l’habitude de travailler. Ils font partie du top de ce que j’ai pu rencontrer. Ils sont aujourd’hui partie intégrante de l’équipe.
Quel que soit le profil, il faut prendre son temps pour apprendre à se connaître. C’est encore plus valable pour les profils stratégiques, ou de direction. Je préconise de commencer par de la prestation dans un premier temps, voire du salariat, avant de penser à l’association. Bien sûr, si on part d’une feuille blanche, on peut démarrer par l’association. Mais quand le projet est déjà amorcé, de l’argent déjà engagé, on peut se permettre d’être patient.
Un entrepreneur est incapable de tout maîtriser. Peu importe le stade de maturité du projet, il est essentiel de bien s’entourer afin de couvrir toutes les compétences nécessaires à la réussite d’une entreprise. Un site comme cofondateur.fr répond parfaitement à ce besoin.
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