Ça y est. Vous vous êtes décidé. Cette année sera celle de l’entrepreneuriat. Adieu le quotidien plus ou moins monotone de la vie de salarié. Adieu les contraintes d’une direction qui vous étouffe, vous ne travaillerez désormais que pour vous. Ah bon, sans cofondateur ?
Entreprendre, c’est aussi dire adieu à la sécurité financière que vous procure un emploi salarié. C’est prendre des risques en engageant votre argent, votre temps et votre énergie. Êtes-vous prêt à partir tout seul, et tout perdre en cas d’échec ?
Il est très souvent nécessaire de s’entourer quand on se lance, de ne pas partir seul face à l’adversité, et ce pour plusieurs raisons.
Les compétences tout d’abord : il est tout bonnement impossible de trouver en une seule personne toutes les compétences économiques, techniques, humaines nécessaires au lancement et à la gestion d’une entreprise.
On s’associe donc par compétences, mais pas seulement. 2 cerveaux partageant la même vision globale apportent toujours plus d’idées sur un projet qu’un seul, et permettent de voir les choses sous différents angles. On recherche donc aussi un associé pour ses idées complémentaires, son sens du détail, mais aussi ses contradictions. Votre associé va vous permettre par son ou ses désaccords de vous remettre en cause, de réfléchir aux choses à deux fois, et donc de ne pas foncer tête baissée. Vous aviez peut-être raison dès le départ, mais cette réflexion nouvelle donnera probablement une nouvelle envergure à votre projet.
Mais ce n’est pas tout. On s’associe aussi pour le financement. A deux, vous avez évidemment plus de moyens que tout seul, mais pas seulement. Auprès des investisseurs, vous apparaissez comme beaucoup plus crédibles. Tout seul, on est souvent considéré comme auto entrepreneur même si ce n’est absolument pas le statut que vous avez choisi. A deux, on forme déjà un groupe, une structure, et une impression de solidité en émane, rassurant ainsi les business angels, banques ou toute autre entité d’investissement.
Enfin, et c’est une évidence, à deux on avance plus vite que tout seul. Le travail est divisé par deux , le temps passé sur une tâche est donc doublement productif. Tout seul, on doit tout gérer, on fait quatre à cinq choses en même temps, jusqu’à se rendre compte que l’on fait n’importe quoi. La répartition des travaux va permettre à chacun d’évoluer sereinement dans le domaine qui est le sien, tout en sachant que son associé est en train de faire le travail complémentaire.
Cela induit une rigueur supplémentaire, et une nécessité de respect des délais. Que va penser notre associé si lorsqu’il termine sa quatrième tâche, je n’en suis qu’à la moitié de ma première ? On a donc un devoir de respect mutuel du travail qui se met en place. Un cercle vertueux qui place la start-up dans les meilleures conditions pour réussir.
Trouver un cofondateur confère donc une palette illimitée d’avantages permettant un développement accru de son projet, de sa structure. Mais il est nécessaire de trouver le bon associé, et d’éviter les erreurs inqualifiables, et ça c’est une autre histoire… Alors, comment s’associer ?
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